Grand Jury – Jour 5

Le Tribunal de l’Opinion Publique – L’intégral en VDO et PDF

Le 5 février, le Comité Corona, fondé par l’avocat allemand Reiner Fuellmich et sa collègue Viviana Fisher, a lancé le Tribunal populaire de l’opinion publique. L’objectif : révéler les preuves des crimes contre l’Humanité, qu’ils soient sanitaires, sociaux, économiques, commis au cours de la période de la crise du Covid-19.


Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont traditionnellement habilités à engager de telles procédures pénales. Pour les organisateurs, aucune cour de justice n’ayant accepté d’entendre leur plaidoyer, ce Grand Jury, composé d’un groupe d’avocats internationaux et d’un juge, a vocation à servir de modèle de procédure en vue d’obtenir des inculpations contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs, complices qui ont pris part à la formulation et à l’exécution de ce qu’ils estiment être plan au service d’une oligarchie financière.

Ce Tribunal de l’opinion publique, qui se veut une cour du peuple, par le peuple, pour le peuple, se fonde sur le droit naturel. Un élément développé en début de séance par Rui Fonseca e Castro, juge de nationalité portugaise. Celui-ci, déplorant que les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions, soutient que « le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques ». Et d’ajouter : « C’est donc dans le droit naturel et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. »

Cet événement extrajudiciaire revêt également un second objectif. Il s’agit de donner une vision complète du contexte géopolitique et historique dans lequel se déroule la crise actuelle en vue d’en comprendre les tenants et les aboutissants. Pour le Comité Corona, le Covid a été le prétexte des gouvernements du monde sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles pour asseoir leur contrôle sur les populations dans l’intention de masquer les crimes d’une mafia financière, perpétrés pendant plusieurs décennies sinon plus.

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