Vidéo : Covid 19 – GRAND JURY Résumé J3

Injections et Guerre Psychologique résumé – Rui Da Fonseca e Castro


ARN : une étude accablante tire la sonnette d’alarme

Une étude publiée le 15 avril 2022 dans ScienceDirect présente les résultats à paraître dans le Journal officiel de la Société chinoise de toxicologie (FCT), une revue de toxicologie de renommée internationale, les « vaccins » à ARNm du SARS-CoV-2 provoqueraient :

→ La création d’un ARNm modifié aux effets complexes mais surtout imprévisibles ;

→ La fabrication soutenue de protéines Spike(j’y reviens plus loin) ;

→ Une altération de l’immunité innée ;

→ Une altération des mécanismes de réparation de l’ADN (protéine Spike neurotoxique) ;

→ Potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer.

Autrement dit, en cherchant à altérer l’ARN messager pour en faire un vaccin contre la Covid-19, les scientifiques auraient potentiellement créé un outil déréglant le fonctionnement de nos cellules.

Des conséquences inquiétantes

Car, comme ces altérations sont intégrées directement à un vaccin, censé aider le système immunitaire, celles-ci passent outre le radar de ce dernier et ne sont donc pas éliminées.
Les vaccins de Pfizer et Moderna consistent à forcer nos cellules à produire, à partir d’ARN messager, un morceau du virus Sars-Cov2 (la protéine Spike).
Ainsi commandées de l’intérieur, les cellules produisent massivement des protéines Spike.

Le problème c’est que cela peut perturber au passage la synthèse d’autres protéines, nécessaires à notre organisme.

En effet, les auteurs de l’étude notent un potentiel lien de causalité des vaccins ARNm avec l’apparition de nombreuses maladies.

Ils évoquent des maladies neurodégénératives, des troubles du foie, des cancers, des myocardites (je vous en ai déjà parlé), de paralysie de Bell (paralysie de la moitié du visage) ou encore de thrombocytopénie immunitaire (pas assez de plaquettes dans le sang, il ne coagule plus)2.

Pire, les auteurs concluent que « des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm ».

Ils appellent « les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu’elles le sont et à agir en conséquence ».

Imaginez un instant les conséquences si les mises en garde accablantes de cette étude s’avèrent fondées ?

Plutôt qu’un remède, nous serions-nous fait injecter, et à plusieurs reprises, une bombe à retardement au cœur même de nos cellules ?

Comme toujours depuis le début de la pandémie, le flou est le plus total.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut