PS : de dangereux démagogues!

Magnette et Morreale : leurs actes s’opposent à leurs discours

Wallonnes et Wallons, voici ce qu’ils ont commis

Sous l’instigation du PS de Paul MAGNETTE, avec la ministre de la santé Christie MORREALE (PS) aux commandes, nous avons assisté le 2 février à un basculement de notre système démocratique. Pourquoi le Gouvernement wallon a‑t-il profité de la simple modification technique du Code wallon de l’Action sociale et de la Santé pour y insérer les dispositions suivantes, lesquelles manquent de définitions claires et précises, et ouvrent en grand la porte à toutes les interprétations et donc à tous les abus?
Le Parlement wallon a approuvé majorité (PS, MR, Écolo) contre opposition (PTB, CdH) un texte que n’aurait pas désavoué le parti national-socialiste (NSDAP) de Sieur Adolf et qui ressemble fort à une dictature techno-sanitaire.En effet, comment considérer autrement les dispositions sidérantes prévues aux articles 16 à 21:

  • Le Ministre wallon de la Santé a plein pouvoir de décider que toute maladie « mettant en jeu le pronostic vital à bref délai ou présentant un caractère fortement épidémique » permettra l’application des mesures prévues, et cela en dehors de toute évaluation scientifique et sans définition de critères précis, ni des termes utilisés
  • Toute personne « suspectée d’une maladie » (telle que décrite ci-dessus) pourra se voir imposer un traitement médical préventif ou curatif: quelle meilleure définition de l’obligation vaccinale?
  • La seule alternative laissée au « suspect » est de demander à être « isolé » et/ou de se faire interdire d’exercer son activité professionnelle et de fréquenter toute collectivité: que reste-t-il du libre choix du traitement?
  • « Cet isolement s’effectue, selon les circonstances » soit en milieu hospitalier, soit à domicile, soit encore « dans un autre lieu approprié à cet effet » : quelle meilleure définition des camps d’internement?
  • « Les inspecteurs d’hygiène » (sic) peuvent pénétrer en tous lieux fréquentés par les suspects afin de les désinfecter, ainsi qu’isoler, traiter, mettre à mort et incinérer les animaux suspects: comment mieux légaliser la violation de domicile?
  • Ces mêmes inspecteurs pourront ordonner la fermeture d’un lieu, d’un espace ou d’une installation, à charge du bourgmestre local d’exécuter la mesure de fermeture: comment mieux semer la division et la suspicion au sein d’une collectivité locale?
  • Le Gouvernement a les pleins pouvoirs pour prendre toutes « les mesures nécessaires ou utiles » (ndlr: lesquelles?) pour faire appliquer les dispositions précitées: réquisitionner les citoyens, requérir l’armée, recourir aux sociétés privées de sécurité?
  • En cas de « situation d’urgence épidémique » au sens de la loi fédérale dite « pandémie », le Gouvernement wallon peut décréter « l’état d’urgence sanitaire » et imposer les mesures précitées à toute ou une partie de la Wallonie, ainsi que « toutes autres mesures nécessaires pour gérer, monitorer et maîtriser l’épidémie », et ce sans quasiment aucun contrôle possible du Parlement wallon: comment mieux libeller un chèque en blanc?
  • L’exécution des mesures décidées par le Gouvernement peuvent être confiées à des personnes physiques ou morales que celui-ci détermine: comment mieux annoncer la privatisation de fonctions régaliennes?
  • Toute personne ne respectant pas les décisions des inspecteurs ou entravant leurs missions risque une peine de 8 jours à 6 mois d’emprisonnement et/ou une amende de 1 à 500 €, infligée par le Tribunal de Police, synonyme de justice expéditive. 

Ce texte ne prévoit que des mesures coercitives et enlève aux citoyens toute possibilité de recourir à des traitements autres que ceux imposés par les autorités, ce qui est en contradiction avec diverses dispositions de droit international, européen et national. Le Parlement wallon quitte le préventif pour basculer dans le curatif, alors que ce décret « concerne la promotion de la santé et la prévention » : il n’est nulle part question de mesures générales de prévention qui pourraient faire l’objet d’une vaste campagne d’information auprès de la population.
Dans sa gestion de la «pandémie» de Covid-19, le Gouvernement wallon a privilégier le recours exclusif aux traitements médicamenteux expérimentaux commercialisés dans des conditions douteuses par des géants pharmaceutiques, entretenant un climat anxiogène par la peur, la honte et la culpabilisation, en exhibant des statistiques tronquées et des prédictions de malheur vomies par d’obscurs algorithmes, et en s’entourant de prétendus experts coupés de la réalité et aux conflits d’intérêts avérés.
C’est aussi mépriser la définition de la santé que donnait, en 1946, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dans sa Constitution: « un état de complet bien-être physique, mental et social, et (qui) ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

Wallonnes et Wallons, voici ce qu’ils disent maintenant :

2 réflexions sur “PS : de dangereux démagogues!”

  1. Georges André

    Messieurs,
    Ces lois sont hors les lois des libertés individuelles !
    Je m’y oppose donc fermement !
    Et irez jusqu’en justice pour défendre nos droits fondamentaux !
    Très déçus de nos dirigeants !

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